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Les Perdigones

Dictionnaire Franco Espagnol et Español Francés
Plomb de chasse : balin, perdigón

Il est surprenant que j’ai eu envie d’écrire sur ce blog quelques lignes pour parler d’une mouche, ou plutôt d’un type de mouche, qui pour moi, pêcheur en sèche, fanatique et même obsessionnel, n’est ni plus ni moins qu’un leurre, qui permet de prendre des truites et des ombres, peut être un peu plus facilement qu’en pêchant au fouet. Et en pratiquant une technique que je ne connais pas assez pour pouvoir en parler…Mais ces "mouches " sont tellement jolies à regarder...

Un peu d’histoire
Dans le roman feuilleton de la pêche de la truite à la mouche, ce sont toujours opposés, les puristes et les réalistes. La pêche à la mouche sèche est une manière de pêcher, qui n’est ni la plus facile , ni la plus rentable. Mais, depuis que les lords anglais et les « happy fews » du XIXème siècle, avaient décrété que cette pêche était la plus noble et la plus belle des pêches, elle a eu pour le commun des mortels un parfum mystérieux et envoûtant. Et encore plus quand l’évolution du matériel et des techniques ont permis, après la seconde guerre mondiale, à des pêcheurs lambda,de pratiquer la pêche au fouet, à la mouche fouettée . Mais cette pêche n’est pas seulement un mode de pêche, c’est aussi, un art, et même un art de vivre, une passion qui peut devenir comme toutes les passions , délirante…
Alors les pêcheurs réalistes et pragmatiques ont voulu continuer à pêcher à la mouche, en pêchant non pas avec une imitation d’insectes flottants, mais avec une imitation des larves des mêmes insectes, ou de petits poissons. Et la querelle a commencé...Je ne vous raconterais pas les déboires de Mr G.E.M. Skues, qui fut exclu, par Frederick Halford, du club de pêcheurs le plus fermé du monde (dans le Sud de l’Angleterre), parce qu’il avait osé pêcher avec une nymphe de surface non plombée.
Quelques années plus tard, un autre pêcheur anglais, qui lui n’était pas membre du club, mais garde pêche d'un autre club tout aussi fermé ,Franck Sawyer, eut la bonne idée de mettre au point une technique de pêche, avec des imitations un peu plus lestées, qui sont restées célèbres dans le monde de moins en moins fermé, de la pêche au fouet. Curieusement ce brave Franck ne fut pas exclu de ce club, car sa technique permettait de prendre des truites et des ombres (à vue)mais qui ne gobaient pas.Entre Skues et Sawyer beaucoup d'eau avait coulé sous les pont des chalk streams anglais, et le puritanisme victorien fut remplacé par le mercantilisme anglo-saxon.
Un auteur français, Raymond Rocher, fit de la Pheasant Tail et de la Grey Goose des stars de la pêche à la nymphe, à vue ou à la nymphe tout court.
La porte était ouverte, et bien sûr, ce qui devait arriva. On inventa une hiérarchie, qui plaçait la pêche à la nymphe à vue, au sommet de toutes les pêches de la truite et autres salmonidés, loin devant la pêche en sèche, la pêche en noyée ou au streamer...Ne parlons pas bien sûr des pêches, au lancer ou au toc, réservées au fameux commun des mortels, et à peine tolérées, dans la plupart des rivières de l’empire anglo-saxon. Les plus belles rivières d’Europe et de l’hémisphère Nord étaient déjà depuis quelques années réservées a la pêche à la mouche, et comme quand même il est plus agréable, quand on est à la pêche, de prendre du poisson, que de regarder la nature, les puristes les plus puristes se mirent à pêcher à la nymphe...à vue.
C’est alors que en Franche Comté, berceau de la « grise à corps jaune », et de la Tricolore de Henri Bresson, mouches sèches par définition,que le célèbre Jean Pierre Guillaumaud dit Piam et un jeune pêcheur, Jean Michel Radix, eurent la bonne idée de rajouter plusieurs tours de fil de plomb, à la Pheasant Tail, et inventèrent la pêche dite à la roulette.
Mais de leur point de vue, j’ai eu l’occasion à l’époque de pêcher avec eux, cette technique n’était pas très glorieuse, car elle ne permettait pas de pêcher bien plus loin que le bout de la canne. Piam eut alors un éclair de génie et utilisa une goutte d’étain fondu sur la hampe de l’hameçon et grâce á cette idée put enfin gagner en hydrodynamisme et faire couler très vite son leurre, sans qu’il ressemble à une grosse crotte de nez. Les comtois disaient qu’il pêchait « au pou » !
Puis l’histoire suivit son cours, le monde de la compétition entra en jeu, et la pêche à la roulette, se transforma en pêche à la nymphe au fil, à la mode tchèque, puis espagnole, puis française. Maintenant les Américains parlent de euro-nymphing
Dans les Asturies les poissons comme en Franche Comté gobaient de moins en moins...Alors les pêcheurs locaux et en particulier José Carlos Rodriguez, compétiteur acharné, commencèrent à créer des modèles inspirés des célèbres nymphes de PIAM.
La première perdigone sous la forme actuelle a été crée en 2002 par José. Son ami, le français triple champion du monde Pascal COGNARD, utilisait à cette époque des nymphes lisses en laiton et en tungstène, qui l'ont inspiré au cours d'une partie de pêche.
Elle fut tout d'abord nommée la "CHINA" par Daniel García AMPUDIA, autre compétiteur.qui lui donnera sa forme aboutie et simulera le sac alaire avec une touche d'émail noir. Le pêcheur basque Íñigo URRUZUNO quand il l'eût en main, dira “¿pero qué me das, perdigones?” (mais vous me donnez un plomb de chasse ?). C'est ainsi que lui fût donné son nom actuel.
C'est une nymphe plus petite, avec un corps très fin et une bille en tungstène qui coule plus vite, grace à la densité du tungstène, sa finesse et sa finition lisse, mais surtout sa forme très hydro-dynamique caractéristique (en poire).
Le succès ne fut pas immédiat. En effet dans ces années là, internet et FaceBook et Instagram n’avaient envahi totalement nos cerveaux et surtout les téléphones portables, n’étaient pas des smartphones. Mais petit à petit ces nymphes commencèrent à s’imposer comme incontournables dans le nouveau mode de pêche pratiqué de plus en plus, la pêche à la nymphe « moderne », qui est une nouvelle technique qui n’a rien à voir avec la pêche à la mouche fouettée, ni avec la pêche au toc ou au lancer, c’est une nouvelle technique et comme toute technique elle commence à avoir ses règles, ses partisans et ses détracteurs, et même ses hérétiques qui commencent à réinventer la pêche au bouchon…
Je ne résiste pas au plaisir de vous présenter quelques photos de perdigones qui esthétiquement me plaisent beaucoup, même si je ne crois pas sincèrement , que nos amies les truites puissent faire la différence, entre une goutte d’étain mat et une bille de tungstène rose fluo! En tout cas pas toujours…
Toutes les perdigones ont éte montées par Francisco Muela Santos. De même que le Sedge Compétition qui peut servir de « bouchon » dans la pêche dite «en tandem» ou au pompon.
Merci à tous ceux qui ont contribué à ce post
Liens obligatoires : Les mouches de Pierrot et le blog de Francisco www.pescandomosca.wordpress

Le nouveau plan de pêche en Aragon


Pour vous rafraîchir la mémoire je vous rappelle qu’en Aragon il existe une réglementation de la pêche, qui pour, parler franchement,est la plus complexe du monde !

Mais c’est sans doute dans ce domaine que les autorités responsables ont cherché à regrouper la crème et la fine fleur des technocrates pour inventer des lois et des directives dont la finalité, n’est jamais évidente et l’application toujours difficile.

Donc cette année, la grande nouveauté c’est l’autorisation de l’utilisation des appâts naturels, dans les eaux classées « extractivos », pour la pêche de la truite, MAIS uniquement pour les pêcheurs âgés de plus de 65 ans ou plus (le sexe n’est pas précisé!).

Quels sont les appâts autorisés ?

Ver de terre,grande perle, hanneton, grillon et sauterelle.

Et avec quel hameçon ?

Un hameçon simple avec ou sans ardillon de hauteur minimum de 2 centimètres et d’ouverture (largeur) minimum de 7 millimètres.

Quelles sont les dates d’ouverture ?

Dans ces portions de rivières ou dans ces lacs il est permis de pêcher du 3ème samedi de mars jusqu’au 31 août 2025.

Quels sont les jours où la pêche est autorisée ?

La pêche est autorisée tous les jours sauf le mercredi et le jeudi sauf si ces dates correspondent à des jours fériés.

Où pêcher au toc ?

Dans tous les parcours classés libre extractivos. Il n’est donc pas nécessaire d’acheter un permis journalier supplémentaire.

Peut on conserver des poissons ?

Oui il est possible de conserver 3 poissons par jour et par pêcheur dont la taille est comprise entre 21 et 25 cm et un poisson de plus de 60 cm. Il n’est pas précisé clairement s’il est possible de continuer à pêcher après avoir atteint sa limite.

Tout ceci bien sûr uniquement sur les portions classées " extractivos"


par Gilbert Marc 22 janvier 2025
J’ai eu la chance de rencontrer dans ma vie de pêcheur à la mouche, quelques pêcheurs exceptionnels. Je dis exceptionnels, car ils n’étaient pas comme tout le monde, mais ils n’étaient pas forcément des preneurs,prédateurs, de poissons, exceptionnels. Leur originalité pouvait s’exercer dans leur philosophie de vie adaptée à leur pratique de la pêche à la mouche, ou leur manière de concevoir la pêche comme une forme de compétition entre eux et les poissons. Ou dans leur capacité d’observation presque surnaturelle, liée le plus souvent à une vision largement au dessus de la normale. Mais ils pouvaient aussi être des pêcheurs lanceurs d’exception. Ce n’étaient pas forcément les meilleurs preneurs, mais,quand même… Alors ce soir je vais vous raconter l’histoire d’un ami italien, un vrai ami, qui hélas n’est plus là pour partager avec moi les bonheurs et les malheurs de la vie. J’avais rencontré Pierangelo sur les bords de la Loue en Franche Comté, en juin 1992. En fait Pierangelo avait demandé à Marc Gatez, le propriétaire du Lodge de La Piquette, s’il pouvait venir pêcher sur son parcours. Comme nous avions réservé toutes les chambres et donc toute la pêche, Marc, toujours à l’affût d’une occasion de gagner un peu d'argent, m’avait demandé à moi le « chef » du club, si nous accepterions de laisser pêcher une ou deux journées, un pêcheur italien de passage. Pour ceux qui me connaissent c’était une évidence, et en fait d’une ou deux journées ce fut une douzaine d’années de partage, de rires, de fêtes incroyables et de parties de pêche encore plus mémorables. Nous étions jeunes et fous, fous de pêche et la pêche à la mouche était notre manière à nous de croquer la vie à pleines dents. C’était aussi le lien, qui donnait à cette amitié une saveur authentique et délicieuse. Mais pour être franc, j’étais quand même un peu jaloux de Pierangelo. Jaloux parce que d’une part il avait une femme d’une exceptionnelle beauté italienne, et aussi parce qu’il avait,pour son initiation de pêcheur au fouet, suivi les cours d’un maître italien,Roberto Pragliola,qui depuis 15 ans à l’époque avait mis au point une nouvelle technique de lancer pour la pêche à la mouche sèche : la TLT ou Technique de Lancer Total. Car Pierangelo n’était une vieille main, il avait été victime d’un accident de chasse, heureusement sans trop de séquelles,qui l’avait dégoûté du monde des chasseurs, et à 35 ans il avait décidé de se lancer dans l’aventure de la pêche à la mouche. Et du coup il avait eu la chance de pouvoir apprendre à lancer (surtout) et à pêcher (un peu) avec le bon Roberto. Inutile de vous dire que sur les lisses de la Piquette ce type de lancer ne servait pas à grand-chose, mais c’était tellement beau à voir..Par contre quand je retrouvais quelques semaines plus tard, sur les bords du Haut Verdon, mon nouvel ami, je compris tout de suite l’intérêt de cette technique de lancer. Roberto Pragliola était réellement un pêcheur exceptionnel et en même temps un précurseur,visionnaire qui avait compris, que seule la pêche à la mouche sèche était le moyen de préserver le capital halieutique des rivières d’Europe de l’Ouest. Alors ce soir en hommage,à la fois à Pierangelo , mais aussi à GianPierro , Augusto , Mauro et les autres, je vais très rapidement vous décrire les différents types de lancer avec une canne à mouche et une soie.
par Gilbert Marc 15 janvier 2025
Et il faut bien une journée entière pour tout lire et comprendre les modifications....
par Gilbert Marc 13 décembre 2024
Le bas de ligne doit à la fois être discret pour permettre de leurrer les poissons et suffisament épais pour transmettre l'énergie cinétique de la soie et de la canne. J’ai décidé de faire ce petit article sur les bas de lignes après avoir reçu cette année en Aragon, à deux reprises, un pêcheur d’un certain âge (le mien!), qui utilisait des bas de lignes pour une pêche en sèche tout à fait traditionnelle,d’une complexité qui elle n’était pas traditionnelle! J’adore rencontrer des gens,surtout des pêcheurs à la mouche, et pouvoir partager avec eux des souvenirs, des expériences et surtout des bons moments de convivialité. Mais j’aime bien aussi pouvoir avec ces mêmes pêcheurs, discuter un peu de technique et de ces discussions jaillit souvent la lumière. Je dois l’avouer le bricolage ne m’a jamais ni intéressé ni réussi! Alors que j’adore monter des mouches , je n’ai jamais pu «bricoler» un moulinet ou une canne, ou un bas de ligne. Et quand j’ai commencé à pêcher à la mouche,c´était hélas à une époque où les conseils étaient difficiles à trouver, la pêche à la mouche était entourée d’une aura de mystère et cela ne facilitait pas l’accès à la connaissance et à la technique. Tout ça pour dire que je suis un autodidacte complet, et que tout ce que j’ai appris je l’ai appris quasiment tout seul. Et en particulier pour la bonne utilisation du matériel, je peux dire que les premières années, en particulier n’ont pas été faciles faciles. Mais finalement à force d’accumuler les bredouilles, je finis par prendre ma première truite en mouche sèche sur la Vis en amont de Ganges, au niveau du pont de Saint Laurent le Minier. Je me souviens bien sûr de ce jour merveilleux, pour deux raisons. La première bien sûr c’était parce que, enfin je pourrais dire en rentrant de la pêche,«j’en ai pris une pas vilaine..», et la deuxième raison c’est que nous étions mon frère et moi partis pêcher à la fin de la contre visite* sans avoir vraiment pris le temps de vérifier notre matériel, entassé à la va vite dans le coffre de la voiture, et que en arrivant, nous avions constaté avec horreur que nous avions oublié,toutes nos bobines de fils et que nous n’avions à notre disposition pour attacher notre mouche qu’une bobine de 20 centièmes à nous partager. Bon à l’époque il faut l’avouer, il était assez rare de pêcher avec un diamètre inférieur à 14 centièmes en pointe. Nous pêchions avec un bas de ligne du commerce queue de rat classique qui se prolongeait par une pré pointe en 18 et se terminait avec une pointe en 16 ou 14.
Les plumes de coq pardo du Léon, un must pour monter nymphes, mouches noyées et sèches.
par Gilbert Marc 21 novembre 2024
Gilbert, le spécialiste de la pêche à la mouche en Aragon, a visité la province du Léon, un autre paradis de la pêche à la mouche et... domicile des célèbres coqs Pardo.
2024 en Aragon : une saison marquée par de fortes crues fréquentes, enrecoupées de périodes chaudes
par Gilbert Marc 3 novembre 2024
La saison de pêche à la mouche 2024 en Aragon a été rendue difficile par le changement climatique : de (trop) nombreuses crues, un été très chaud et sec. Gilbert livre ses impressions et réflexions.
Un pamphlet pour dénoncer les excès de notre système
par Gilbert Marc 22 juillet 2024
L'été est devenu depuis quelques décennies le symbole des vacances et du partage de moments de détente en famille ou entre amis. Mais hélas, c'est aussi un moment où nous pouvons prendre conscience de la surpopulation du globe terrestre! Je viens de lire un article qui décrit la mise en service en avril dernier d'un chalutier géant sorti des chantiers navals de Bremenhaven dans le nord de l'Allemagne. Ce texte publié sur les réseaux sociaux par la mouvance écologique européenne, a pour but de dénoncer la pêche industrielle. En soi le fait de créer un énorme bateau usine pour prélever des protéines d'origine animale (gratuites) n'a finalement pas grande importance si l'on considère la finalité. Car en pratique pour pouvoir manger l'humanité n'a jamais fait autre chose que d'utiliser les ressources du globe terrestre. Ce qui a changé c'est tout simplement l'échelle de grandeur. Entre le début du XXème siècle et aujourd'hui la population mondiale a été multipliée par 5. Il ne faut donc pas s'étonner que la taille des bateaux de pêche ait suivie la même croissance! Et il faut encore moins s'étonner que des écologistes bien pensants publient des vidéos dénonçant ce système.... Mais le vrai problème n'ait pas la taille des bateaux de pêche ou des chaluts, le vrai problème est qu'il faut bien nourrir les 9 milliards d'humains qui seront dans 25 ans un bon milliard de plus. Nos amis les écologistes n'en parlent jamais et je suis assez surpris de ne pas lire ou entendre un nouveau prophète qui osera dire la vérité. Nous sommes trop nombreux beaucoup trop! Et je dois le dire il est urgent d'entreprendre VOLONTAIREMENT, un plan de diminution de la biomasse humanoïde. Et de la manière la plus simple et la plus logique qui soit. Régulation des naissances et raccourcissement de la durée de vie. Si nous supprimons avant la conception un bébé sur deux et si nous poussons doucement vers la sortie la moitié des personnes âgées de plus de 70 ans, le problème des chalutiers géants ne sera plus d'actualité en une trentaine d'années. Et 30 ans c'est très peu à l'échelle de la vie sur la Terre. Bien sûr c'est une utopie imbécile, et irréalisable. Car cela ne changera pas la donne l'humanité sera toujours la même et dans un siècle les mêmes problèmes reviendront. Il vaut bien mieux attendre tranquillement la prochaine guerre mondiale et la prochaine pandémie qui auront les mêmes effets et qui, malheureusement n'empêcheront pas le réchauffement inéluctable de la planète. qui finira bien par se débarrasser de l'espèce humaine pour la remplacer par une nouvelle espèce dominante qui je l'espère de tout coeur permettra la pratique de la pêche sans limites !!! https://www.youtube.com/watch?v=gT_paC2wVTg https://bloomassociation.org/bloom-infiltre-linauguration-secrete-dune-machine-dextermination-de-locean/
La Palaretta, une mouche noyée à corps jaune et fibres de pardo, efficace dans les courants.
par Gilbert Marc 1 mars 2024
En 1932, Louis Carrère publiait un livre sur la pêche à la mouche parlant de la Palaretta, cette mouche noyée espagnole à corps jaune et collerette en fibres de pardo, si efficace sur les truites dans les courants.
Ernest Hemingway à la pêche en Espagne.
par Gilbert Marc 12 février 2024
Ernest Hemingway, le célèbre journaliste et écrivain américain, est venu en Espagne comme correspondant de guerre du côté des Républicains, et aussi pêcher les truites méditerranéennes de Navarre à la mouche.
Le coto deportivo del Grado - Enate, sur le rio Cinca.
par Gilbert Marc 3 février 2024
Le coto deportivo aragonais del Grado - Enate, situé sur le Cinca en aval de deux grands barrages, peut être intéressant pour le pêcheur à la mouche, en nymphe au fil, en tandem, voire en sèche.
Une des mouches noyées intéressantes pour la pratique de la noyée amont.
par Gilbert Marc 29 janvier 2024
La pêche à la mouche dite en "noyée amont", une technique de pêche très efficace en eaux rapides quand la sèche ne donne rien, ou est impossible à pratiquer, à utiliser dans les courants et les têtes de courants.
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