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Petit traité philosophique de l'ouverture

J'avais écrit ce pamphlet il y a plus de 50 ans et je l'avais publié dans une revue 
clandestine d'un groupuscule d'extrême gauche maoïste dont je faisais partie. Après 
la lecture de l'article mes « camarades » m'avaient immédiatement exclu.
 VEILLE D'OUVERTURE
C'est un symbole et c'est aussi une réalité concrète ! Nous pouvons retourner à la pêche!Nous 
pouvons retourner pêcher la truite !
Notre passion celle qui nous donne envie de nous lever le matin, pour aller enfiler des waders 
encore humides et patauger dans des rivières glacées ou au contraire surchauffées et polluées, cette 
passion se NOURRIT de nos rêves et grandit les veilles des ouvertures ! 
Un peu de philosophie :
Ouverture et fermeture ne sont que le reflet des battements de notre cœur, reflet pâle et sans goût du
yin et du yang. Mais ce rythme que les règles de la société nous impose, est aussi un moyen de 
limiter, de cadrer notre passion. Tout s'ouvre et tout se referme.Et l'ouverture n'est que le début de 
l'histoire,mais qui dit ouverture dit aussi fermeture...!Hélas... !
Je ne vais pas me laisser aller à philosopher plus loin !
Maintenant un peu d'histoire :
Nous ne possédons aucun texte relatif à l’organisation et la réglementation de la pêche avant la
conquête romaine, les textes gaulois, peuples de tradition orale, étant par définition peu nombreux
et très parcellaires. Ces derniers n’avaient d’ailleurs pas d’alphabet propre mais utilisaient celui des
Grecs, des Étrusques ou des Latins. A l’époque romaine, la pêche est libre et permise à tous, le
poisson étant considéré comme « res nullius » (« la chose de personne ») tout comme l’eau en
général.
Après la chute de l’Empire romain, et durant toute la période paléochrétienne (IV-VIème s. de
notre.ère.), le poisson est le symbole chrétien par excellence.
Plus tard avec le début du Moyen Âge et l’établissement de la féodalité, le droit de pêche appartient
au(x) souverain (s). Il peut l’octroyer à ses vassaux et aux institutions monastiques. A la
Renaissance, les rivières navigables ou flottables relèvent du domaine royal, les eaux « non
praticables » des droits seigneuriaux.
En 1566, l’Édit de Moulins, édit royal pris par le roi de France Charles IX, réglemente 
définitivement les aliénations au domaine royal. Cet édit est encore considéré aujourd’hui comme la
source historique du domaine public français.
La pêche comme activité de subsistance laisse progressivement la place à une activité commerciale,
voire aussi à une activité de loisir, comme en atteste la publication en 1653 du traité Le Parfait 
Pêcheur à la ligne d’Izaac Walton, au point de devoir être réglementée dès le XVIIème siècle. 
En 1669, l’Ordonnance de Louis XIV « sur le fait des eaux et forêts », rédigée sous l’impulsion de 
Colbert, régit les Eaux et Forêts du royaume, dont la chasse, la pêche et la police des eaux. 
Elle fonde le droit contemporain avec un rappel de l’Édit de Moulins qui précise que « seuls 
peuvent prétendre à un droit de pêche sur les cours d’eau domaniaux le bénéficiaire de titres ou 
possessions antérieurs à 100 ans ». 
A cette occasion est créée l’autorisation de pêche par bail donnant droit à tout riverain d’un cours 
d’eau ou plan d’eau non domanial de louer ou céder son droit de pêche.
 La répression des faits de pollution des eaux prend naissance avec cette ordonnance qui réprime 
pour la première fois l’empoisonnement des poissons ce qui peut être vu comme les prémices du 
dispositif visant à lutter contre la pollution des rivières. 
 Caricature dessinée après la nuit du 4 Aout
A la Révolution, l’abolition des privilèges, pendant la nuit du 4 Août 1789 entraîne la disparition de 
l’exclusivité du droit de pêche puis le 27 novembre 1793 la reconnaissance à tout citoyen du droit 
de pêcher dans les rivières navigables ou flottables : « la liberté de pêche pour tous et sur tous les 
cours d’eau ».
Cette abolition du droit exclusif de la pêche entraîne un pillage des rivières et étangs si bien que les 
autorités reviennent en arrière et vote une loi en 1802 rétablissant l’affermage et restituant au 
domaine public le droit exclusif de pêcher dans les rivières navigables.
En 1805, un avis du Conseil d’État redonne aux propriétaires le droit de pêche dans les rivières non 
navigables.
La loi relative à la pêche fluviale du 15 avril 1829 affirme la liberté de pêche mais réglemente les 
droits d’usage avec notamment le développement de garde-pêches, l’interdiction de certains 
instruments de pêche et les premières réglementations sur la taille et les espèces capturées. Cette loi
fondamentale reprend également certaines dispositions antérieures comme les punitions corporelles 
que Colbert avait prévues pour les empoisonneurs de rivière qui seront remplacées par une peine 
d’amende et d’emprisonnement.Et surtout pour la première fois introduit la notion d'ouverture et de 
fermeture de la pêche, dans le but de protéger les poissons en période de frai.
En 1845, le Juge J. Perrève, ancien procureur du roi qui s’est notamment intéressé à la régulation de
la pêche et de la chasse par la législation, écrivait dans un traité des délits et des peines de chasse 
dans les forêts de l’État : « La loi des Chinois, qui ne permet de tuer une bête que lorsqu’elle est 
parvenue à la grosseur ordinaire de son espèce, est tout à fait conforme aux intérêts de la 
reproduction du gibier et des poissons. On doit en dire autant de celle qui, en France, interdit la 
pêche avec des filets dont les mailles seraient trop étroites pour laisser échapper les petits 
poissons ».
Durant le XIXème siècle, la pêche à la ligne comme loisir est encore marginale et sa 
démocratisation qui se développera avec l’avènement des chemins de fer s’accompagnera d’une 
distinction « halieutico-sociale » avec, sous l’impulsion d’une élite, anglaise puis française, des 
pêcheurs dit « sportifs » recherchant les « poissons nobles » comme le saumon, et des pêcheurs dits 
« de gens de peu »ne cherchant à pêcher que d'autres espèces.La truite à l'époque était considérée 
comme un poisson « vulgaire ».
Pour résumer la civilisation des loisirs que nous vivons actuellement a commencé réellement il y a 
150 ans et l'anarchie déclenchée par l'absence de règles pendant la révolution (à la pêche comme 
pour toute activité humaine) ne pouvait pas permettre une activité stable et ne l'oublions pas 
commercialement rentable. Et la loi de 1829 qui instaure une ouverture et une fermeture, est aussi 
une loi qui donne aux fabricants de cannes à pêche l'occasion de faire de la publicité (donc du 
commerce) pour préparer l'ouverture ! 
Je hais le capitalisme !
Mais je n'ai rien trouvé de mieux pour pouvoir aller à la pêche !
par Gilbert Marc 20 mars 2025
Une belle journée sur le Rio …..G…. Personnellement je ne suis pas un fanatique des réseaux sociaux, mais je suis le premier à reconnaître,que cette manière nouvelle de communiquer, a ,d’une part, révolutionné l’utilisation des téléphones et d’autre part permis de voir l’apparition de nouveaux métiers. Je veux parler des créateurs de contenu. Je suppose que vous ne savez pas ce que cela veut dire...Mais si je vous dis influenceurs….certainement vous comprendrez mieux ! En fait les réseaux sociaux sont devenus les supports technologiques d’ une nouvelle forme de la réclame, de la publicité, de l’incitation à consommer. Nous sommes très loin des discussions autour d’un café, entre passionnés de football, de pêche ou de politique. Donc de manière naturelle, pour organiser et surtout valoriser cette nouvelle forme de publicité, sont apparus les influenceurs, ou créateurs de contenus, qui au travers des plateformes, (Instagram, FaceBook,TikTok, YouTube et autres) diffusent des informations chargées de vous convaincre d’utiliser, donc d’acheter. tel ou tel produit soi disant miracle. Et dans le domaine de la pêche aussi. Et après ce long préambule, je peux vous dire que j’ai rencontré ici en Aragon un influenceur, venu pour créer du contenu, avec un vidéaste professionnel avec pour objectif de faire un film reportage destiné à être diffusé sur les fameux réseaux sociaux. Le secret professionnel et les lois protégeant les créateurs m’interdisent de diffuser toutes les informations et toutes les images contenues dans ce publi reportage. Par contre je peux vous raconter les deux journées, passées en compagnie de ces charmants jeunes hommes, et de vous montrer les photos que j’ai prises avec mon appareil. Sans trahir personne je peux vous révéler que nous étions sur les bords d’une rivière que j’adore et qui coule au pied du gîte. Et que l’objectif était de faire une vidéo sur la pêche de la truite au leurre. Et que ces jours là, par je ne sais quel miracle,tous les voyants étaient au vert : un temps gris et humide,des eaux froides,mais pas trop, claires,mais pas trop, et des truites en activité, mais pas trop quand même… Après avoir installé l’équipe de tournage, je regardais si je ne pouvais pas pêcher de mon côté,non pas au leurre , mais à la mouche, au cas où.. Les miracles arrivent quelquefois, pendant que le remplaçant pyrénéen de Brad Pitt, sortait truites sur truites avec un leurre fait pour attraper des brochets et des sandres,un peu plus en amont les truites se mirent à gober, à nympher, bref à bouger! Et là deuxième miracle j’avais la bonne mouche, et à mon tour je me mis à sortir truites sur truites, et que des belles s’il vous plaît ! Je finis par croire que j’étais devenu un redoutable prédateur, et j’étais sur point de vous téléphoner pour partager ce merveilleux moment, quand le cameraman, me proposa de faire une prise pour disait il garder un souvenir. Je me mis en position favorable par rapport à la lumière et aux reflets de l’eau, et avec mon style désuet je parvins à propulser de l’autre côté du courant, la mouche qui avait bien fonctionné quelques minutes auparavant. Et là troisième miracle venue de nulle part une truite énorme, bien plus énorme que dans mes rêves les plus fous, vint gober ma mouche , minuscule, dans sa grande gueule. Je fus tellement surpris que je ne ferrais pas et heureusement car sinon la truite m’aurait tout cassé, ou je lui aurais enlevé de la bouche. Je vous épargne les détails de la bagarre, de la mise à l’épuisette et des congratulations qui suivirent . C’est toujours un peu pareil et au final une truite aussi grosse aussi belle, monument historique de la rivière, aura mérité bien la photo souvenir que je partage avec vous..
par Gilbert Marc 22 janvier 2025
J’ai eu la chance de rencontrer dans ma vie de pêcheur à la mouche, quelques pêcheurs exceptionnels. Je dis exceptionnels, car ils n’étaient pas comme tout le monde, mais ils n’étaient pas forcément des preneurs,prédateurs, de poissons, exceptionnels. Leur originalité pouvait s’exercer dans leur philosophie de vie adaptée à leur pratique de la pêche à la mouche, ou leur manière de concevoir la pêche comme une forme de compétition entre eux et les poissons. Ou dans leur capacité d’observation presque surnaturelle, liée le plus souvent à une vision largement au dessus de la normale. Mais ils pouvaient aussi être des pêcheurs lanceurs d’exception. Ce n’étaient pas forcément les meilleurs preneurs, mais,quand même… Alors ce soir je vais vous raconter l’histoire d’un ami italien, un vrai ami, qui hélas n’est plus là pour partager avec moi les bonheurs et les malheurs de la vie. J’avais rencontré Pierangelo sur les bords de la Loue en Franche Comté, en juin 1992. En fait Pierangelo avait demandé à Marc Gatez, le propriétaire du Lodge de La Piquette, s’il pouvait venir pêcher sur son parcours. Comme nous avions réservé toutes les chambres et donc toute la pêche, Marc, toujours à l’affût d’une occasion de gagner un peu d'argent, m’avait demandé à moi le « chef » du club, si nous accepterions de laisser pêcher une ou deux journées, un pêcheur italien de passage. Pour ceux qui me connaissent c’était une évidence, et en fait d’une ou deux journées ce fut une douzaine d’années de partage, de rires, de fêtes incroyables et de parties de pêche encore plus mémorables. Nous étions jeunes et fous, fous de pêche et la pêche à la mouche était notre manière à nous de croquer la vie à pleines dents. C’était aussi le lien, qui donnait à cette amitié une saveur authentique et délicieuse. Mais pour être franc, j’étais quand même un peu jaloux de Pierangelo. Jaloux parce que d’une part il avait une femme d’une exceptionnelle beauté italienne, et aussi parce qu’il avait,pour son initiation de pêcheur au fouet, suivi les cours d’un maître italien,Roberto Pragliola,qui depuis 15 ans à l’époque avait mis au point une nouvelle technique de lancer pour la pêche à la mouche sèche : la TLT ou Technique de Lancer Total. Car Pierangelo n’était une vieille main, il avait été victime d’un accident de chasse, heureusement sans trop de séquelles,qui l’avait dégoûté du monde des chasseurs, et à 35 ans il avait décidé de se lancer dans l’aventure de la pêche à la mouche. Et du coup il avait eu la chance de pouvoir apprendre à lancer (surtout) et à pêcher (un peu) avec le bon Roberto. Inutile de vous dire que sur les lisses de la Piquette ce type de lancer ne servait pas à grand-chose, mais c’était tellement beau à voir..Par contre quand je retrouvais quelques semaines plus tard, sur les bords du Haut Verdon, mon nouvel ami, je compris tout de suite l’intérêt de cette technique de lancer. Roberto Pragliola était réellement un pêcheur exceptionnel et en même temps un précurseur,visionnaire qui avait compris, que seule la pêche à la mouche sèche était le moyen de préserver le capital halieutique des rivières d’Europe de l’Ouest. Alors ce soir en hommage,à la fois à Pierangelo , mais aussi à GianPierro , Augusto , Mauro et les autres, je vais très rapidement vous décrire les différents types de lancer avec une canne à mouche et une soie.
par Gilbert Marc 15 janvier 2025
Et il faut bien une journée entière pour tout lire et comprendre les modifications....
par Gilbert Marc 13 décembre 2024
Le bas de ligne doit à la fois être discret pour permettre de leurrer les poissons et suffisament épais pour transmettre l'énergie cinétique de la soie et de la canne. J’ai décidé de faire ce petit article sur les bas de lignes après avoir reçu cette année en Aragon, à deux reprises, un pêcheur d’un certain âge (le mien!), qui utilisait des bas de lignes pour une pêche en sèche tout à fait traditionnelle,d’une complexité qui elle n’était pas traditionnelle! J’adore rencontrer des gens,surtout des pêcheurs à la mouche, et pouvoir partager avec eux des souvenirs, des expériences et surtout des bons moments de convivialité. Mais j’aime bien aussi pouvoir avec ces mêmes pêcheurs, discuter un peu de technique et de ces discussions jaillit souvent la lumière. Je dois l’avouer le bricolage ne m’a jamais ni intéressé ni réussi! Alors que j’adore monter des mouches , je n’ai jamais pu «bricoler» un moulinet ou une canne, ou un bas de ligne. Et quand j’ai commencé à pêcher à la mouche,c´était hélas à une époque où les conseils étaient difficiles à trouver, la pêche à la mouche était entourée d’une aura de mystère et cela ne facilitait pas l’accès à la connaissance et à la technique. Tout ça pour dire que je suis un autodidacte complet, et que tout ce que j’ai appris je l’ai appris quasiment tout seul. Et en particulier pour la bonne utilisation du matériel, je peux dire que les premières années, en particulier n’ont pas été faciles faciles. Mais finalement à force d’accumuler les bredouilles, je finis par prendre ma première truite en mouche sèche sur la Vis en amont de Ganges, au niveau du pont de Saint Laurent le Minier. Je me souviens bien sûr de ce jour merveilleux, pour deux raisons. La première bien sûr c’était parce que, enfin je pourrais dire en rentrant de la pêche,«j’en ai pris une pas vilaine..», et la deuxième raison c’est que nous étions mon frère et moi partis pêcher à la fin de la contre visite* sans avoir vraiment pris le temps de vérifier notre matériel, entassé à la va vite dans le coffre de la voiture, et que en arrivant, nous avions constaté avec horreur que nous avions oublié,toutes nos bobines de fils et que nous n’avions à notre disposition pour attacher notre mouche qu’une bobine de 20 centièmes à nous partager. Bon à l’époque il faut l’avouer, il était assez rare de pêcher avec un diamètre inférieur à 14 centièmes en pointe. Nous pêchions avec un bas de ligne du commerce queue de rat classique qui se prolongeait par une pré pointe en 18 et se terminait avec une pointe en 16 ou 14.
Les plumes de coq pardo du Léon, un must pour monter nymphes, mouches noyées et sèches.
par Gilbert Marc 21 novembre 2024
Gilbert, le spécialiste de la pêche à la mouche en Aragon, a visité la province du Léon, un autre paradis de la pêche à la mouche et... domicile des célèbres coqs Pardo.
2024 en Aragon : une saison marquée par de fortes crues fréquentes, enrecoupées de périodes chaudes
par Gilbert Marc 3 novembre 2024
La saison de pêche à la mouche 2024 en Aragon a été rendue difficile par le changement climatique : de (trop) nombreuses crues, un été très chaud et sec. Gilbert livre ses impressions et réflexions.
Un pamphlet pour dénoncer les excès de notre système
par Gilbert Marc 22 juillet 2024
L'été est devenu depuis quelques décennies le symbole des vacances et du partage de moments de détente en famille ou entre amis. Mais hélas, c'est aussi un moment où nous pouvons prendre conscience de la surpopulation du globe terrestre! Je viens de lire un article qui décrit la mise en service en avril dernier d'un chalutier géant sorti des chantiers navals de Bremenhaven dans le nord de l'Allemagne. Ce texte publié sur les réseaux sociaux par la mouvance écologique européenne, a pour but de dénoncer la pêche industrielle. En soi le fait de créer un énorme bateau usine pour prélever des protéines d'origine animale (gratuites) n'a finalement pas grande importance si l'on considère la finalité. Car en pratique pour pouvoir manger l'humanité n'a jamais fait autre chose que d'utiliser les ressources du globe terrestre. Ce qui a changé c'est tout simplement l'échelle de grandeur. Entre le début du XXème siècle et aujourd'hui la population mondiale a été multipliée par 5. Il ne faut donc pas s'étonner que la taille des bateaux de pêche ait suivie la même croissance! Et il faut encore moins s'étonner que des écologistes bien pensants publient des vidéos dénonçant ce système.... Mais le vrai problème n'ait pas la taille des bateaux de pêche ou des chaluts, le vrai problème est qu'il faut bien nourrir les 9 milliards d'humains qui seront dans 25 ans un bon milliard de plus. Nos amis les écologistes n'en parlent jamais et je suis assez surpris de ne pas lire ou entendre un nouveau prophète qui osera dire la vérité. Nous sommes trop nombreux beaucoup trop! Et je dois le dire il est urgent d'entreprendre VOLONTAIREMENT, un plan de diminution de la biomasse humanoïde. Et de la manière la plus simple et la plus logique qui soit. Régulation des naissances et raccourcissement de la durée de vie. Si nous supprimons avant la conception un bébé sur deux et si nous poussons doucement vers la sortie la moitié des personnes âgées de plus de 70 ans, le problème des chalutiers géants ne sera plus d'actualité en une trentaine d'années. Et 30 ans c'est très peu à l'échelle de la vie sur la Terre. Bien sûr c'est une utopie imbécile, et irréalisable. Car cela ne changera pas la donne l'humanité sera toujours la même et dans un siècle les mêmes problèmes reviendront. Il vaut bien mieux attendre tranquillement la prochaine guerre mondiale et la prochaine pandémie qui auront les mêmes effets et qui, malheureusement n'empêcheront pas le réchauffement inéluctable de la planète. qui finira bien par se débarrasser de l'espèce humaine pour la remplacer par une nouvelle espèce dominante qui je l'espère de tout coeur permettra la pratique de la pêche sans limites !!! https://www.youtube.com/watch?v=gT_paC2wVTg https://bloomassociation.org/bloom-infiltre-linauguration-secrete-dune-machine-dextermination-de-locean/
Quelques réflexions de Gilbert sur l'avènement des perdigones.
par Gilbert Marc 16 mai 2024
Les perdigones, nymphes ou leurres ? Gilbert nous explique l'histoire de ces mouches, et nous livre quelques réflexions sur leur utilisation.
La Palaretta, une mouche noyée à corps jaune et fibres de pardo, efficace dans les courants.
par Gilbert Marc 1 mars 2024
En 1932, Louis Carrère publiait un livre sur la pêche à la mouche parlant de la Palaretta, cette mouche noyée espagnole à corps jaune et collerette en fibres de pardo, si efficace sur les truites dans les courants.
Ernest Hemingway à la pêche en Espagne.
par Gilbert Marc 12 février 2024
Ernest Hemingway, le célèbre journaliste et écrivain américain, est venu en Espagne comme correspondant de guerre du côté des Républicains, et aussi pêcher les truites méditerranéennes de Navarre à la mouche.
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