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Réflexions de fin de saison

Gilbert Marc • 11 novembre 2023
Voilà, c'est fini !
Heureusement que je ne pêche qu'à la mouche !
Nous sommes le 11 Novembre et je viens de finir de ranger le gîte, le matériel, et les waders !
Il me manque à ré organiser mon matériel de montage et ce sera terminé !
Alors voilà il faut tirer le bilan de cette saison, en tout cas il faut essayer de raconter un peu pour 
transmettre aux autres passionnés et préparer le futur.
Ce que je peux dire c'est que cette année, a été pour le moins particulière
Tout le monde a compris que le changement climatique était une réalité, en particulier les pêcheurs.
En même temps tout le monde ou presque a compris que l'avenir de la pêche de loisir était dans les 
mains des pratiquants et que les politiques et les dirigeants du monde de la gestion de l'eau et de la 
pêche en particulier étaient complètement dépassés, non pas par incompétence ou mauvaise volonté,
mais simplement parce que personne réellement ne sait quel sera le futur.
Et que par conséquent à mon humble avis la préservation des conditions futures de la pêche en 
rivière ne pourra passer que par une action individuelle de chaque pêcheur, car je ne crois plus du 
tout à l'action collective associative ou encore moins à l'action politique.
Mais le plus important n'est pas là. Le plus important c'est que, pendant cette année noire au milieu 
des pires conditions par manque d'eau et canicules à répétition, et bien ici en Aragon , les rivières 
n'ont pas trop souffert, les truites ont plutôt bien résisté aux variations brutales de débit et de 
température.
Pourquoi ? 
Tout simplement parce que depuis 2018, les truites sauvages et autochtones ont complètement 
recolonisé les rivières et que ces truites sont faites pour résister aux pires conditions. La gestion 
espagnole est ce qu'elle est mais au moins nous avons la preuve que sans prélèvements (ou presque)
et avec un niveau de pollution très bas, les rivières peuvent produire et fabriquer beaucoup de 
poissons, mais aussi beaucoup d'insectes. J'ai eu le plaisir cette année de rencontrer quelques 
pêcheurs de tous horizons. Tous se sont plaints de l’absence de gobages réguliers sur les rivières 
qu'ils avaient l'habitude de pêcher. Curieusement ici en Aragon s'il n'y a pas de gobages tout le 
temps il y en a souvent.
Suffisamment en tout cas pour pouvoir prendre du plaisir en ne pêchant qu'en mouche sèche.
Et cela m'amène évidemment à vous parler de l'évolution de la pêche à la mouche.
Ou plutôt de ce qu'il en reste... !
J'ai la certitude en écrivant ces lignes d'être complètement et définitivement un dinosaure en voie de
disparition ou plus simplement un vieux couillon !
Pour moi la pêche à la mouche ne se conçoit que comme une philosophie un art et prétentieusement 
un mode de vie. La pêche à la mouche n'est pas réservée à des « chapeaux à plume » qui ne parlent 
qu'en termes ésotériques et mystérieux de leur passion. La pêche à la mouche c'est tout simplement 
une manière d 'aller profiter de la nature et éventuellement pouvoir s'intégrer dans un écosystème 
qui permet de leurrer un poisson qui gobe un insecte.
Ceci exclut toute notion de « rentabilité ». 
Personnellement je ne suis pas un ayatollah de la mouche sèche et je n'ai absolument rien contre les 
autres techniques de pêche. Chacun est libre heureusement de pratiquer la pêche de loisir et de 
prendre son plaisir comme il le souhaite. La seule chose qui me gêne un peu c'est que probablement 
par snobisme, beaucoup de pêcheurs préfèrent dire qu'ils pêchent à la mouche alors qu'ils pêchent à 
la larve ou à la nymphe ou au leurres. Ou bien c'est parce que dans d'autres pays que la France seule
la pêche à la mouche est autorisée pour la pêche de la truite et qu'il est tentant de contourner la loi 
pour pouvoir attraper plus de poissons...
Et c'est en cela que je reviens sur cette notion qui n'est pas élitiste, mais au contraire très moderne,la
pêche à la mouche c'est une philosophie un art, mais surtout pas une manière rentable de prendre du
poisson ! Nous ne sommes plus des pêcheurs chasseurs cueilleurs, préhistoriques.
De toutes façons dans peu de temps en Europe du Sud il ne sera plus possible de pêcher dans des 
rivières naturelles tout simplement parce qu'il n'y aura plus d'eau ! Donc pour retarder si possible 
l'échéance ne pêchons plus qu'à la mouche sèche et ne tuons plus une seule truite.
par Gilbert Marc 21 novembre 2024
Un petit voyage en dehors de l’Aragon Le LÉON….. Mon truc en plumes... Je viens de rentrer en Cantabrie. Je profite de la dernière semaine de vacances chez Carmen et j’ai (enfin) un peu de temps pour écrire, ce qui je l’avoue me manque un peu pendant toute la saison de pêche ! Alors voilà. Nous sommes allés nous promener dans la province voisine, dans le Léon, et plus précisément dans la belle ville de Léon. Cette ville est une pure merveille architecturale, et pour les non pêcheurs c’est vraiment un endroit qui mérite le déplacement. Sutout la cathédrale! Mais pour les pêcheurs et surtout les pêcheurs à la mouche, le Léon est beaucoup plus célèbre pour ses rivières que pour ses cathédrales. La littérature halieutique, les récits de pêcheurs plus ou moins célèbres et de nos jours les réseaux sociaux sont une source d’inspiration pour les pêcheurs voyageurs que nous sommes. Je vous avoue que je n’avais pas vraiment accroché lors de deux séjours effectués il est vrai dans des conditions peu favorables, mais c’était il y a bien longtemps déjà dans les années 1995 1998. À la retraite j’ai choisi le Haut Aragon pour poser mes valises, d’une part parce que, par goût je préfère les Pyrénées, et aussi parce que je connaissais bien mieux les rivières au nord de Huesca. Aussi le petit séjour que je viens de faire dans le Léon, n’avait pas pour objectif de pêcher, la fermeture était déjà passée, mais plus pour explorer et chercher des informations sur un des trésors de cette région, les coqs de pêche du Léon. Je n’ai pas été déçu! Un peu d’histoire…. . « L'origine des coqs de pêche du León se perd dans la nuit des temps; les premiers témoignages de leur existence se trouvent dans le Manuscrit d'Astorga, de 1624. L'auteur y fait référence aux types de plumes utilisées pour la confection des mouches qu'il décrit...» Extrait du livre «Mouches pour la pêche»de Rafael del Pozo Les passionnés ne sont pas sans savoir qu’un des premiers livres ayant pour but de dévoiler les secrets de la pêche à la mouche, publié, en 1624, par Juan de Bergara est le fameux manuscrit d’Astorga, (re)découvert, par Louis Carrère en 1935, chez un armurier de Léon qui lui même l’aurait reçu d’un sculpteur espagnol Julio del Campo résident à Léon . Je rappelle pour les plus jeunes que Louis Carrère, diplomate français, vivant à l’époque en Espagne est l’auteur d’un livre «Mouche noyée», publié pour la première fois en 1936, puis réédité en 1957. C’est dans cette édition qu’il a reproduit quelques pages de ce manuscrit, en précisant que, chronologiquement, c’est certainement le premier traité de montage des mouches artificielles au monde,si l’on excepte les 23 pages, décrivant une douzaine de mouches noyées, ajoutées au «Livre de Saint Alban» traité de chasse et de fauconnerie de Dame Juliana Berners, publié en Angleterre en 1496. Nous avons la chance d’avoir à notre disposition une réédition de ce manuscrit, qui décrit avec une minutie digne d’éloges, le montage de mouches artificielles, destinées à la pêche de la truite au fil des mois et des saisons. Mais en dehors de l’intérêt historique, ce manuscrit, qui date quand même de quatre siècles,nous apprend que déjà, à cette époque ,il y avait des pêcheurs passionnés, et qu’il y avait des coqs de pêche élevés par d’autres hommes tout aussi passionnés. Et nous découvrons avec stupeur que déjà il existait plusieurs races de coqs et que chacune de ces races comportaient plusieurs familles différentes, qui produisaient des plumes de couleurs et de formes variables. Toujours par intérêt historique, j’ai appris que Juan de Bergara, lui même n’était pas pêcheur, mais plus vraisemblablement un moine copiste ou écrivain public, qui à la demande des auteurs anonymes aurait rédigé ou recopié ce manuscrit. Toujours pour mémoire en 1624 les techniques d’imprimerie n’étaient pas les mêmes qu’aujourd’hui et je suppose que ce petit bouquin n’a probablement pas été édité à des centaines d’exemplaires puisque à ma connaissance l’original aurait été détruit en 1978 lors de l’incendie de la bibliothèque du Général Franco qui l’aurait reçu en cadeau...du gouverneur de la province de Léon. Le Caudillo grand pêcheur devant l’Éternel,a du recevoir avec plaisir ce cadeau, lui qui ne pêchait la truite qu’au buldo et à la cuillère, et le saumon des Asturies à la crevette...Un autre dictateur Tito en Yougoslavie s’était réservé pour son usage personnel une merveille slovène la Radovna. Il faudra un jour que j’écrive un post sur les célébrités qui ont pêché et qui pêchent encore à la mouche. Mais il est temps de revenir à notre époque, et essayer de comprendre ce qui fait que même des pêcheurs australiens qui sont venus pêcher dans le Rio Ara cet été connaissaient les coqs du Léon! Premier point : Le biotope. On peut parler du Triangle d’Or du coq de pêche qui se situe entre trois vallées du nord de Léon la vallée du Curueño, du Haut Esla et du Rio Porma. Le centre névralgique de la production de ces coqs de pêche est la petite ville de la Vecilla del Curueño. Située à l'entrée de la haute vallée de la rivière Curueño, cette ville est la capitale et le point de départ de tout un circuit halieutique vers l'intérieur de la région. Elle compte une population de 384 habitants.Les environs de cette rivière recèlent de nombreuses légendes qui ont suscité une multitude d’oeuvres des poètes et des chroniqueurs de différentes époques. Entre la petite ville de Boñar et La Vecilla, et les communes de Valdepielago, La Cándana, Campohermoso, Aviados et Ranedo, plusieurs élevages perpétuent la tradition et continuent à produire des coqs de pêche. Et c’est uniquement dans cette zone que les plumes de ces volatiles agressifs et capricieux, produisent des plumes dont les couleurs, la brillance et la rigidité, permettent la fabrication de mouches artificielles de qualité exceptionnelle. Le même coq transporté dans une autre région de France ou d’Espagne va très rapidement perdre toutes ces qualités. J’ai trouvé toutes sortes d’explications à ce phénomène, qui vont de la nourriture spéciale à la radioactivité du sol en passant par le degré hygrométrique de l’air. En comparaison les coqs de pêche du Limousin obéissent à peu près aux même phénomènes. Il y a même un musée du coq de pêche ! Et comme à Neuvic en Corrèze il y a une foire aux coqs de pêche qui a lieu le deuxième dimanche de mars. On peut assister à cette ccasion à la plumée d’un ou plusieurs coqs et comme à Neuvic il y a un concours avec un jury et des prix.. ! Deuxième point La race Toujours est il que ces coqs ,élevés depuis des siècles uniquement dans le but de produire des plumes, sont maintenant bien ancrés dans le paysage culturel et traditionnel. Les races sont fixées et la production certes toujours artisanale est d’une qualité constante. On rencontre deux races. Les coqs Indio et les coqs Pardo. Les deux races sont incluses dans le Catalogue Officiel du Ministère de l’Agriculture et de l’Environnement des races animales espagnoles autochtones et sont répertoriées comme des espèces en voie de disparition. Les coqs Indio On pense qu'ils tirent leurs origines du coq rouge primitif de la jungle et qu'ils sont apparentés à la poule andalouse bleue, avec laquelle ils partagent plusieurs gènes.C'est la première race caractéristique du León. Contrairement à la race Pardo dont on ignore les origines. Leus plumes ont des couleurs unies et sont dotées d'un éclat exceptionnel. Les plumes d'Indio sont caractérisées par plusieurs critères. Les couleurs sont unies et les teintes principales sont le Negrisco qui est un gris très foncé presque noir, le Palometa d'un blanc nacré, le Rubión rouge marron et Acerado qui est un gris acier Les coqs Pardo Ces coqs là représentent, en quelque sorte, le symbole du León. Leurs plumes ont des couleurs extraordinaires et sont dotées d'un éclat sans pareil. Les plumes de Pardo sont caractérisées par plusieurs critères. Les taches qui recouvrent les fibres sont définies sous le nom de Sarrioso avec des pigments sombres très fins, Aconchado qui possède des points irréguliers et arrondis, Corzuno qui possède une pigmentation semblable à celle des poils de chevreuils et Langareto où les points sont réguliers et organisés en bandes transversales. C'est ce dernier type qui est, en quelque sorte, la Rolls Royce des plumes des coqs de León. Les couleurs sont très variées avec des teintes principales comme le Rubión qui est un marron fauve, l'Oscuro d'un sombre profond et le célébrissime Flor de Escoba dont les fibres possèdent des teintes tabac. Et quelles sont les plumes les plus utilisées? En fait trois sortes de plumes sont utilisées les plumes du dos les pelles et les plumes du cou. La pluma de riñonada (plume de dos) C'est la plume la plus appréciée et la plus difficile à obtenir. Ce sont des plumes qui ont un équilibre parfait entre rigidité et flexibilité et elles ont une brillance exceptionnelle. Idéale pour la réalisation des cerques. Si vous montez des imitations de mouches noyées de type espagnol, la rigidité et la brillance de ces fibres donneront à votre mouche un éclat et provoqueront des vibrations en phase immergée sans équivalent. La colgerada (pelle) C'est une grande plume qui est de seconde classe par rapport à la précédente. Elle est moins brillante et plus molle, mais ses fibres sont assez longues et elles peuvent être parfaites pour les dos de sedges. Une colgerada d'excellente qualité sera toujours meilleure qu'une mauvaise plume de dos. La pluma del cuello (plume de cou) - Indio uniquement C'est la plume que nous appelons généralement hackle. Uniquement produite sur les coqs Indio, c'est un objet rare. Les plus belles plumes de cous d'Espagne sont généralement grises, les coqs du Limousin produisent ce type de fibres en France. C'est une plume plus courte que les plumes américaines, mais sa brillance et la solidité de son rachis en font des plumes très appréciées pour ceux qui ont la chance de s'en procurer. Petite précision utile pour ceux qui souhaitent investir dans ce genre de plumes. Il est possible actuellement de trouver sur le marché des capes de cous de coqs « pardo » qui sont à peu près équivalentes aux productions classiques américaines (Metz Hoffmann), mais qui ne sont pas issues de la région dont nous parlons . Pendant ce court séjour en Léon, je n’ai pas pu trouver des plumes de cou ni indio ni pardo….!
par Gilbert Marc 3 novembre 2024
Traditionellement l'automne est la meilleure saison pour la pêche en Aragon, et spécialement, la fin septembre et tout le mois d'octobre. Mais cette année .... Avec la triste actualité de la catastrophe de Valencia. qui occupe actuellement tous les esprits et tous les médias en Espagne, il serait indécent de se plaindre des crues à répétition du Rio Ara, et du niveau toujours trop haut du Rio Gallego. Toutefois ce post a deux objectifs. Tout d'abord témoigner et informer de la situation actuelle du déréglement climatique, car nous pêcheurs nous sommes en première ligne, et notre loisir est certes menacé, mais comme la vie des habitants des vallées est également en péril et je ne parle évidemment pas que des truites (!), il est de notre devoir de raconter ce qui se passe avec notre vécu de citoyens amoureux de la nature et troublés par ce qui se passe avec le changement de paradigme climatique. Ensuite démontrer que rien n'est encore perdu, que la force vitale, de la nature, des truites, et de l'humanité sera toujours présente. Je vais faire une comparaison osée. Après la catastrophe de Valencia, nous avons vu des milliers de personnes, prendrent une pelle, un balai, un seau, pour aller aider.Nous avons vu des touristes se retrousser les manches , et marcher dans la boue pour tenter de dégager les habitants dans une maison bloquée par des voitures empilées. Et au mlieu du Rio Ara avec un débit cinq fois supérieur à la normale nous avons vu des dizaines de truites remonter le courant pour tenter d'accéder aux frayères de Bujaruelo. C'est ce que j'appelle la force vitale! Bien sûr je ne suis pas Candide béatement optimiste, j'ai très peur pour l'avenir de ma petite fille,mais quand même le mois d'octobre et le début novembre m'ont rendu un peu d'espérance. Spécialement parce que malgré les conditions climatiques plus que difficiles et plus que compliquées par moment, nous avons quand même réussi à prendre des truites et même de belles truites. Mais je vous avoue que ce soir je ne suis pas vraiment en forme pour vous parler de techniques de pêche en eaux troubles...
Un pamphlet pour dénoncer les excès de notre système
par Gilbert Marc 22 juillet 2024
L'été est devenu depuis quelques décennies le symbole des vacances et du partage de moments de détente en famille ou entre amis. Mais hélas, c'est aussi un moment où nous pouvons prendre conscience de la surpopulation du globe terrestre! Je viens de lire un article qui décrit la mise en service en avril dernier d'un chalutier géant sorti des chantiers navals de Bremenhaven dans le nord de l'Allemagne. Ce texte publié sur les réseaux sociaux par la mouvance écologique européenne, a pour but de dénoncer la pêche industrielle. En soi le fait de créer un énorme bateau usine pour prélever des protéines d'origine animale (gratuites) n'a finalement pas grande importance si l'on considère la finalité. Car en pratique pour pouvoir manger l'humanité n'a jamais fait autre chose que d'utiliser les ressources du globe terrestre. Ce qui a changé c'est tout simplement l'échelle de grandeur. Entre le début du XXème siècle et aujourd'hui la population mondiale a été multipliée par 5. Il ne faut donc pas s'étonner que la taille des bateaux de pêche ait suivie la même croissance! Et il faut encore moins s'étonner que des écologistes bien pensants publient des vidéos dénonçant ce système.... Mais le vrai problème n'ait pas la taille des bateaux de pêche ou des chaluts, le vrai problème est qu'il faut bien nourrir les 9 milliards d'humains qui seront dans 25 ans un bon milliard de plus. Nos amis les écologistes n'en parlent jamais et je suis assez surpris de ne pas lire ou entendre un nouveau prophète qui osera dire la vérité. Nous sommes trop nombreux beaucoup trop! Et je dois le dire il est urgent d'entreprendre VOLONTAIREMENT, un plan de diminution de la biomasse humanoïde. Et de la manière la plus simple et la plus logique qui soit. Régulation des naissances et raccourcissement de la durée de vie. Si nous supprimons avant la conception un bébé sur deux et si nous poussons doucement vers la sortie la moitié des personnes âgées de plus de 70 ans, le problème des chalutiers géants ne sera plus d'actualité en une trentaine d'années. Et 30 ans c'est très peu à l'échelle de la vie sur la Terre. Bien sûr c'est une utopie imbécile, et irréalisable. Car cela ne changera pas la donne l'humanité sera toujours la même et dans un siècle les mêmes problèmes reviendront. Il vaut bien mieux attendre tranquillement la prochaine guerre mondiale et la prochaine pandémie qui auront les mêmes effets et qui, malheureusement n'empêcheront pas le réchauffement inéluctable de la planète. qui finira bien par se débarrasser de l'espèce humaine pour la remplacer par une nouvelle espèce dominante qui je l'espère de tout coeur permettra la pratique de la pêche sans limites !!! https://www.youtube.com/watch?v=gT_paC2wVTg https://bloomassociation.org/bloom-infiltre-linauguration-secrete-dune-machine-dextermination-de-locean/
Quelques réflexions de Gilbert sur l'avènement des perdigones.
par Gilbert Marc 16 mai 2024
Les perdigones, nymphes ou leurres ? Gilbert nous explique l'histoire de ces mouches, et nous livre quelques réflexions sur leur utilisation.
La Palaretta, une mouche noyée à corps jaune et fibres de pardo, efficace dans les courants.
par Gilbert Marc 1 mars 2024
En 1932, Louis Carrère publiait un livre sur la pêche à la mouche parlant de la Palaretta, cette mouche noyée espagnole à corps jaune et collerette en fibres de pardo, si efficace sur les truites dans les courants.
Ernest Hemingway à la pêche en Espagne.
par Gilbert Marc 12 février 2024
Ernest Hemingway, le célèbre journaliste et écrivain américain, est venu en Espagne comme correspondant de guerre du côté des Républicains, et aussi pêcher les truites méditerranéennes de Navarre à la mouche.
Le coto deportivo del Grado - Enate, sur le rio Cinca.
par Gilbert Marc 3 février 2024
Le coto deportivo aragonais del Grado - Enate, situé sur le Cinca en aval de deux grands barrages, peut être intéressant pour le pêcheur à la mouche, en nymphe au fil, en tandem, voire en sèche.
Une des mouches noyées intéressantes pour la pratique de la noyée amont.
par Gilbert Marc 29 janvier 2024
La pêche à la mouche dite en "noyée amont", une technique de pêche très efficace en eaux rapides quand la sèche ne donne rien, ou est impossible à pratiquer, à utiliser dans les courants et les têtes de courants.
Une soie naturelle Phoenix
par Gilbert Marc 25 janvier 2024
Quels sont les avantages des soies naturelles par rapport aux soies artificielles modernes ? Elles permettent des posés et des arrachés très délicats car elles sont plus fines que les soies artificielles.
L'automne est la meilleure saison pour la pêche à la mouche sèche en Aragon, au milieu des truites.
par Gilbert Marc 8 janvier 2024
Un souvenir de pêche en sèche un jour d'automne, un de ces jours magiques où les pêcheurs, les truites et les mouches, les artificielles et les vraies, se rencontrent au bord de l'eau.
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